Mes notes

Le pont.

Le pont.

Le pont, instrument de construction ou de destruction est le moyen par excellence pour qui invite le vivant à la table de la tolérence. Lorsque la mort semble devenir une faucheusse infranchissable, le pont devient un mur.

Ce n’est pas le mur du frère maçon, mais l’arme du bon chrétien.

Mais entre iurne ou diurne,l’Homme du sibore ouvre les portes du ciel.

Le ciel  étoilé par la lune ou la terre illuminée par le soleil,  nous invite à participer nuit et jour à la recréation du monde et la regénération de l’univers.

C’est alors que le métavert nous introduit dans l’univers céleste de prométée.

Prométée apporterait ainsi le feu de Dieu et donc la connaissance. Me myth cisif devient alors le myth décisif.

C’est alors qu’être gislaine Dupont en dit long sur le monument de l’anté ou du posté monde.

Avoir été ou devenir l’été, le soleil chante partout la joie quand la chouette de minerve annonce la fin de la létargie. Dès lors, louvre comme un monstre froid s’avance et raffolle ou s’affolle devant la rencontre avec l’humain.

Je veux  être Dieu ou déesse, ciel ou terre, ma tête ne sera pas la têtée, ou la tétée, mais le tt.

Voilà pourquoi devant le regard ostère du monde, je m’extase de la bêtise humaine pour épouser l’espérance des fins dernières.